Vivement préoccupée également par le fait que la pratique des mutilations génitales féminines viole et altère les droits fondamentaux des femmes et des filles, qu’elle a un caractère néfaste et des conséquences irréparables et irréversibles, et que l’objectif de l’éliminer en l’espace d’une génération, comme elle l’a réaffirmé dans sa résolution 67/146 du 20 décembre 2012, n’a toujours pas été atteint,