28. Invite les gouvernements à envisager de mettre en place un mécanisme national, ou, s’il existe déjà, de le renforcer, avec la participation de la société civile, selon qu’il conviendra, y compris des organisations non gouvernementales, notamment de femmes, et des rescapés de la traite, pour assurer une approche globale et coordonnée des politiques et mesures de lutte contre la traite, à encourager l’échange d’informations et faire connaître les données, les causes profondes, les facteurs et les tendances de la traite des êtres humains, en particulier la traite de femmes et de filles, et à communiquer des données ventilées par sexe, par âge et par tout autre facteur pertinent sur les victimes de la traite ;