Réaffirmant l’importance que revêtent les mécanismes de coopération bilatéraux, sous-régionaux, régionaux et internationaux, ainsi que les initiatives prises, notamment sous forme d’échanges d’informations sur les meilleures pratiques, par les gouvernements et les organisations intergouvernementales et non gouvernementales pour s’attaquer au problème de la traite d’êtres humains, en particulier de femmes et d’enfants,