15. Demande à nouveau instamment à tous les États parties de redoubler d’efforts pour s’acquitter de l’obligation que leur impose la Convention relative aux droits de l’enfant de veiller à la préservation de l’identité de l’enfant, y compris sa nationalité, son nom et ses relations familiales, tels qu’ils sont reconnus par la loi et leur rappelle qu’ils sont tenus d’enregistrer toutes les naissances sans discrimination aucune, même tardivement, et de veiller à ce que les procédures d’enregistrement soient universelles, accessibles, simples, rapides, effectives et gratuites ou d’un coût modique ;