Considérant en outre que l’omniprésence des inégalités entre les sexes, la pauvreté, le chômage, l’absence de perspectives socioéconomiques, la violence sexiste, la discrimination et la marginalisation, ainsi que la demande continue en femmes et filles faisant l’objet de la traite, font partie des facteurs qui rendent les femmes et les filles vulnérables à la traite,