26. Invite les gouvernements à envisager de mettre en place un mécanisme national, ou, s’il existe déjà, de le renforcer, avec la participation de la société civile, selon qu’il conviendra, organisations non gouvernementales comprises, à assurer une approche globale et coordonnée des politiques et mesures de lutte contre la traite, à encourager l’échange d’informations et faire connaître les données, les causes profondes, les facteurs et les tendances de la traite d’êtres humains, en particulier de femmes et de filles, et à communiquer des données ventilées par sexe et par âge sur les victimes de la traite ;