A/RES/65/230
Nations Unies
Distr. générale
1er avril 2011
Assemblée générale
Soixante-cinquième session
Point 105 de l’ordre du jour
Résolution adoptée par l’Assemblée générale le 21 décembre 2010
[sur la base du rapport de la Troisième Commission (A/65/457)]
65/230. Douzième Congrès des Nations Unies pour la prévention
du crime et la justice pénale
L’Assemblée générale,
Soulignant la responsabilité qu’assume l’Organisation des Nations Unies dans
le domaine de la prévention du crime et de la justice pénale en vertu de la résolution
155 C (VII) du Conseil économique et social, en date du 13 août 1948, et de sa
propre résolution 415 (V) du 1er décembre 1950,
Sachant que les congrès des Nations Unies pour la prévention du crime et la
justice pénale, qui constituent une importante tribune intergouvernementale, ont
influé sur les politiques et pratiques nationales et promu la coopération
internationale en la matière en facilitant l’échange de vues et de données
d’expérience, en mobilisant l’opinion publique et en recommandant différents axes
d’action aux niveaux national, régional et international,
Rappelant sa résolution 46/152 du 18 décembre 1991, à l’annexe de laquelle
les États Membres affirmaient que les congrès des Nations Unies pour la prévention
du crime et la justice pénale devaient se réunir tous les cinq ans pour permettre,
notamment, l’échange de vues entre États, organisations intergouvernementales,
organisations non gouvernementales et experts représentant diverses professions et
disciplines, l’échange de données d’expérience en matière de recherche, de droit et
d’élaboration des politiques et le recensement des tendances et des questions
nouvelles dans le domaine de la prévention du crime et la justice pénale,
Rappelant également sa résolution 57/270 B du 23 juin 2003, relative à
l’application et au suivi intégrés et coordonnés des textes issus des grandes
conférences et réunions au sommet organisées sous l’égide de l’Organisation des
Nations Unies dans les domaines économique et social, dans laquelle elle soulignait
que tous les pays devaient promouvoir des politiques s’inscrivant dans la logique
des engagements pris lors des grandes conférences et réunions au sommet
organisées par les Nations Unies, que le système des Nations Unies était chargé de
l’importante responsabilité d’aider les gouvernements à ne pas faiblir dans leur
volonté de suivre et d’appliquer les accords et les engagements contractés lors des
grandes conférences et réunions au sommet organisées par les Nations Unies, et en
invitait les organes intergouvernementaux à continuer de promouvoir l’application
des textes issus de ces manifestations,
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