Soulignant que la Convention relative aux droits de l’enfant est la référence en matière de promotion et de protection des droits de l’enfant, et réaffirmant que les États parties à la Convention doivent prendre toutes les mesures législatives, administratives et autres nécessaires à l’exercice des droits qui y sont consacrés, tout en ayant à l’esprit l’importance des Protocoles facultatifs s’y rapportant 2 et appelant à leur ratification universelle et à leur application effective, ainsi qu’à celles d’autres instruments relatifs aux droits de l’homme,