Consolider les acquis et intensifier l’action menée pour lutter contre le paludisme et l’éliminer dans les pays en développement, particulièrement en Afrique, à l’horizon 2030 (2019), para. 80
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40. Demande aux États Membres et à la communauté internationale, en particulier aux pays impaludés, conformément aux directives et aux recommandations de l’Organisation mondiale de la Santé et aux prescriptions de la Convention de Stockholm sur les polluants organiques persistants, y compris celles qui concernent le DDT, d’acquérir une parfaite connaissance des politiques et stratégies techniques de l’Organisation et des dispositions de la Convention de Stockholm, notamment celles concernant les pulvérisations d’insecticide à effet rémanent à l’intérieur des habitations, les moustiquaires imprégnées d’insecticides de longue durée, la prise en charge des malades, les traitements préventifs intermittents pour les femmes enceintes, les enfants de moins de 5 ans et les nourrissons, le suivi des études in vivo de résistance aux polythérapies à base d’artémisinine, et le suivi et la gestion de la résistance aux insecticides et la transmission du paludisme à l’extérieur, et d’accroître leur capacité d’homologuer et de faire accepter de nouveaux moyens de lutte antivectorielle et d’assurer une utilisation sûre, efficace et judicieuse de la pulvérisation d’insecticide à effet rémanent à l’intérieur des habitations et d’autres formes de lutte antivectorielle, y compris les mesures de contrôle de la qualité, conformément aux règles, normes et directives internationales ;