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Titre | Date ajouter | Modèle | Document | Paragraph text | Organe | Type de document | Thematics | Thèmes | Personnes concernées | Année |
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Les filles (2018), para. 64 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 39. Demande aux États de faire en sorte que des programmes de protection sociale, y compris les programmes qui prennent en compte le VIH, soient proposés aux orphelins et autres enfants vulnérables, en accordant une attention particulière aux besoins des filles, à leur fréquentation scolaire, à leur vulnérabilité et à la protection de leurs droits ; |
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Élimination des mutilations génitales féminines (2018), para. 30 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 6. Demande aux États, à la communauté internationale et aux organismes des Nations Unies de mettre fin à la médicalisation des mutilations génitales féminines, ce qui suppose de définir et de diffuser des directives et les dispositions légales à l’intention du personnel médical et des accoucheuses traditionnelles afin de fournir une réponse adéquate aux problèmes de santé physique et mentales chroniques des millions de femmes et de filles qui ont subi des mutilations génitales, problèmes qui entravent les progrès en matière de santé en général et la protection des droits de l’homme, y compris le droit de jouir du meilleur état de santé physique et mentale qu’il soit possible d’atteindre ; |
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Intensification de l’action mondiale visant à éliminer les mutilations génitales féminines (2019), para. 30 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 9. Exhorte également les États à veiller à ce que la protection des femmes et des filles qui ont subi, ou risquent de subir, des mutilations génitales, et le soutien à leur apporter fassent partie intégrante des politiques et des programmes mis en œuvre pour lutter contre cette pratique, et à prévoir à l’intention des femmes et des filles des mesures de prévention et d’intervention de qualité, plurisectorielles, coordonnées, spécialisées et accessibles, notamment des services éducatifs, juridiques, psychologiques, sanitaires et sociaux, dispensés par du personnel qualifié, conformément aux principes d’éthique médicale ; |
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Intensification de l’action mondiale visant à éliminer les mutilations génitales féminines (2015), para. 37 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 18. Engage la communauté internationale, les entités concernées du système des Nations Unies, la société civile et les institutions financières internationales à continuer de soutenir activement, grâce à des ressources financières et à une assistance technique accrues, les programmes ciblés et exhaustifs répondant aux besoins et aux priorités des femmes et des filles qui risquent de subir ou ont subi des mutilations génitales ; |
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Les petites filles (2003), para. 14 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Notant avec inquiétude que de nos jours les petites filles sont en outre atteintes par les maladies sexuellement transmissibles et qu’elles sont de plus en plus nombreuses à être contaminées par le virus de l’immunodéficience humaine, qui a de graves incidences sur leur qualité de vie et les expose à une discrimination supplémentaire, |
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Intensification de l’action menée pour éliminer la violence à l’égard des femmes : associer les hommes et les garçons à la prévention de la violence contre toutes les femmes et toutes les filles, et à la lutte contre cette violence (2017), para. 15 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Conscient que la violence à l’égard des femmes est une manifestation de l’inégalité des sexes et de la discrimination à l’égard des femmes et des filles et qu’elle peut faire obstacle à l’indépendance économique des femmes et avoir des coûts directs et indirects à court et à long terme pour la société et les particuliers, y compris, le cas échéant, une perte de production économique, avec les répercussions physiques et psychologiques qui en découlent, et occasionner aussi des dépenses au titre des soins de santé, des services juridiques, de l’aide sociale et des services spécialisés, |
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Les filles (2008), para. 48 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 25. Prie les États de veiller à ce que, dans tous les programmes et politiques visant à assurer la prévention générale du VIH/sida et à prendre en charge, soigner et soutenir les malades, une attention et un soutien particuliers soient accordés aux filles exposées, infectées ou touchées par le VIH/sida, y compris les filles enceintes et les mères jeunes ou adolescentes, dans le cadre de l’action menée à l’échelle mondiale en vue de se rapprocher sensiblement de l’objectif consistant à assurer l’accès universel à la prévention, aux traitements, aux soins et à un soutien complets d’ici à 2010 ; |
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Pacte mondial pour des migrations sûres, ordonnées et régulières (2019), para. 140 | 25 févr. 2020 | Paragraph | c) Élaborer des politiques migratoires qui tiennent compte de la problématique femmes-hommes pour répondre aux besoins et vulnérabilités des femmes, filles et garçons parmi les migrants, y compris par une assistance, des soins de santé, des services psychologiques et des services de conseils, ainsi que par un accès à la justice et à des voies de recours utiles, en particulier dans les cas de violence sexuelle et sexiste, de maltraitance et d’exploitation ; |
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Amélioration de la condition de la femme en milieu rural (2010), para. 27 | 25 févr. 2020 | Paragraph | j) Promouvoir les droits des femmes et des filles souffrant de handicaps en milieu rural, notamment en leur garantissant un égal accès à un emploi productif et un travail décent, aux ressources économiques et financières ainsi qu’à des infrastructures et services tenant compte du handicap, en matière de santé et d’éducation en particulier, et en veillant à ce que leurs besoins et leurs priorités soient pleinement intégrés dans les politiques et programmes, entre autres moyens par leur participation aux processus de décision ; |
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None, para. 46 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 12. Demande aux États de prendre, avec le concours des parties prenantes intéressées, y compris le secteur privé, la société civile, les organisations non gouvernementales et les associations locales, selon qu’il convient, toutes les mesures nécessaires pour garantir le droit des filles à jouir du meilleur état de santé possible, y compris la santé sexuelle et procréative, et d’élaborer des systèmes de santé viables, en améliorant ceux qui sont en place pour garantir l’offre de soins de santé primaires intégrant un volet d’action contre le VIH, en les rendant plus accessibles aux adolescentes ; |
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Appuyer l’action engagée pour en finir avec la fistule obstétricale (2008), para. 21 | 25 févr. 2020 | Paragraph | d) À fournir les soins, le matériel et les produits essentiels et à prévoir des programmes de formation professionnelle et de création de revenus pour aider les jeunes femmes et les filles à sortir de l’engrenage de la pauvreté ; |
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Intensification de l’action menée pour éliminer la violence à l’égard des femmes : associer les hommes et les garçons à la prévention de la violence contre toutes les femmes et toutes les filles, et à la lutte contre cette violence (2017), para. 35 | 25 févr. 2020 | Paragraph | e) De renforcer les mesures visant à prévenir et à éliminer la violence contre les femmes et les filles vivant avec le VIH, exposées au virus ou touchées par lui, ainsi que leur victimisation, et d’inscrire ces mesures dans des politiques et programmes exhaustifs ayant trait au VIH, et de faire prendre pleinement conscience aux hommes et aux garçons que l’égalité des sexes et les normes sociales positives permettent de lutter efficacement contre le VIH ; |
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Projet de document final de la Réunion plénière de haut niveau de l’Assemblée générale sur les objectifs du Millénaire pour le développement (2010), para. 152 | 25 févr. 2020 | Paragraph | i) Arrêter des politiques et prendre des mesures propres à promouvoir l’éducation en matière de santé, notamment celle des jeunes, afin de remédier à l’ignorance actuelle des questions de santé et, dans certains cas, de décourager les pratiques préjudiciables qui entravent considérablement l’accès des femmes et des enfants aux services de santé, ainsi que de garantir le respect des droits de l’homme, de promouvoir l’égalité des sexes et l’autonomisation des femmes, conditions nécessaires à la protection de la santé des femmes et des filles, et de faire reculer la stigmatisation des personnes vivant avec le VIH et le sida ; |
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Le droit à l’alimentation (2011), para. 24 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 5. Encourage tous les États à prendre des mesures pour remédier aux inégalités et à la discrimination dont les femmes font l’objet, en particulier quand ces inégalités et cette discrimination contribuent à la malnutrition des femmes et des filles, y compris des mesures visant à assurer la pleine réalisation du droit à l’alimentation dans des conditions d’égalité et à garantir l’égalité d’accès aux ressources, notamment à des revenus, à la terre, à l’eau et au droit à la propriété de ces ressources, ainsi que le plein accès, sur un pied d’égalité, à l’éducation, aux sciences et à la technologie, afin que les femmes puissent se nourrir et nourrir leur famille ; |
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Santé mondiale et politique étrangère : améliorer la gestion des crises sanitaires internationales (2016), para. 33 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Soulignant qu’il faut forger des partenariats ambitieux en faveur de la santé mondiale pour favoriser entre autres la promotion de l’égalité des sexes et de l’autonomisation des femmes, donner à tous accès à la santé sexuelle et procréative et garantir aux femmes et aux filles l’exercice effectif de tous leur s droits fondamentaux, de façon à contribuer à l’élimination de la pauvreté et au progrès économique et social, notamment à l’amélioration des résultats obtenus dans le domaine de la santé, |
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None, para. 14 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Consciente que les femmes et les filles sont davantage exposées à l’infection par le VIH et que les conséquences de l’épidémie de VIH/sida pèsent sur elles de manière disproportionnée, eu égard notamment aux soins et au soutien apportés aux personnes vivant avec le VIH/sida ou touchées par la maladie, et que cela porte préjudice aux filles en les privant de leur enfance et en réduisant leurs chances de recevoir une éducation, le résultat étant souvent qu’elles se retrouvent à la tête de leur foyer et qu’elles sont encore plus vulnérables aux pires formes de travail des enfants et à l’exploitation sexuelle, |
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Les petites filles (2004), para. 31 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 14. Prie instamment les États de prendre les mesures nécessaires pour répondre aux besoins des orphelines en appliquant des politiques et stratégies nationales de nature à doter les pouvoirs publics, les familles et les collectivités des capacités nécessaires pour assurer la prise en charge des orphelins et des garçons et des filles contaminés par le VIH/sida ou qui en subissent indirectement les conséquences, notamment en offrant des services appropriés d’orientation et de soutien psychosocial, en veillant à ce qu’ils soient scolarisés et à ce qu’ils puissent être logés, être nourris convenablement et avoir accès à des services de santé et des services sociaux dans des conditions d’égalité avec les autres enfants, et pour protéger les orphelins et les enfants vulnérables de toutes les formes de sévices, de violence, d’exploitation, de discrimination, et de trafic ainsi que de la perte d’héritage ; |
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Le droit au développement (2010), para. 55 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 30. Insiste sur la nécessité d’intégrer les droits des enfants, filles et garçons, dans toutes les politiques et tous les programmes, et d’assurer la promotion et la protection de ces droits, notamment dans les domaines touchant la santé, l’éducation et le plein épanouissement de leurs capacités ; |
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Intensification de l’action menée pour prévenir et éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles : violence familiale (2017), para. 23 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Considérant que les mariages d’enfants, les mariages précoces et les mariages forcés font courir aux individus, en particulier aux filles, le risque d’être exposés à diverses formes de discrimination et de violence, notamment la violence dans la famille, ou d’en être la cible tout au long de leur vie, et font peser une grav e menace sur de multiples aspects de la santé physique et mentale des femmes et des filles, y compris mais pas uniquement leur santé sexuelle et procréative, en augmentant sensiblement le risque de grossesses précoces, fréquentes et non désirées, de mortalité et de morbidité maternelles et néonatales, de fistule obstétrique et d’infections transmises sexuellement, dont le VIH/sida, tout en les rendant plus vulnérables à toutes les formes de violence, et que toutes les filles et les femmes qui subissent ou risquent de subir les mariages d’enfants, les mariages précoces et les mariages forcés doivent avoir accès sur un pied d’égalité à des services abordables et de qualité en matière d’éducation, de conseil et de logement et à d’autres services sociaux, ainsi qu’aux services de santé psychologique, sexuelle et procréative, aux soins médicaux, et à l’assistance juridique, |
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Le droit à l’alimentation (2019), para. 45 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 7. Encourage tous les États à tenir compte de la problématique femmes- hommes dans les programmes de sécurité alimentaire et à prendre des mesures pour s’attaquer de jure et de facto aux inégalités entre les sexes et à la discrimination à l’égard des femmes, en particulier lorsque ces facteurs contribuent à la malnutrition des femmes et des filles, en vue notamment d’assurer la pleine jouissance du droit à l’alimentation dans des conditions d’égalité et de garantir aux femmes un accès égal aux ressources, notamment aux revenus, à la terre et à l’eau, à la propriété de ces ressources et aux moyens de production agricoles, ainsi que l’accès sans restriction et sur un pied d’égalité avec les hommes aux soins, à l’éducation, à la science et à la technologie, afin qu’elles puissent se nourrir et nourrir leur famille, et, à cet égard, souligne qu’il faut donner aux femmes les moyens d’agir et renforcer leur rôle dans la prise de décisions ; |
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Intensification de l’action mondiale visant à éliminer les mutilations génitales féminines (2015), para. 20 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 1. Souligne que l’autonomisation des femmes et des filles est essentielle si l’on veut rompre le cycle de la discrimination et de la violence et promouvoir et protéger les droits fondamentaux, y compris le droit de jouir du meilleur état de santé mentale et physique possible, notamment en matière de santé sexuelle et procréative, et engage les États parties à s’acquitter des obligations que leur imposent la Convention relative aux droits de l’enfant 5 et la Convention sur l’élimination de toutes les formes de discrimination à l’égard des femmes 6 , ainsi que de l’engagement qu’ils ont pris de mettre en œuvre la Déclaration sur l’élimination de la violence à l’égard des femmes 19 , le Programme d’action de la Conférence internationale sur la population et le développement 11 , le Programme d’action de Beijing 9 et les textes issus de sa vingt-troisième session extraordinaire, intitulée « Les femmes en l’an 2000 : égalité des sexes, développement et paix pour le XXI e siècle » 10 , ainsi que de sa session extraordinaire consacrée aux enfants ; |
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Mise en valeur des ressources humaines (2002), para. 08 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Soulignant en outre que la santé et l’éducation sont au centre de la mise en valeur des ressources humaines et qu’il est nécessaire de faire en sorte qu’avant 2015 les enfants partout dans le monde, garçons et filles, soient en mesure d’achever un cycle complet d’études primaires et que les filles et les garçons aient à égalité accès à tous les niveaux d’éducation, comme il a été proclamé lors du Forum mondial sur l’éducation, tenu à Dakar du 26 au 28 avril 2000, et dans la Déclaration du Millénaire, |
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Déclaration politique issue de la réunion de haut niveau sur la couverture sanitaire universelle (2019), para. 33 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 23. Exprimer notre préoccupation face au fait qu’il manque 18 millions de travailleurs sanitaires à l’échelle mondiale, principalement dans les pays à faible revenu ou à revenu intermédiaire, et constater la nécessité de former, de constituer et de retenir un personnel de santé qualifié, notamment des infirmiers et infirmières, des sages-femmes et des agents de santé communautaires, ces travailleurs étant une composante importante de systèmes de santé solides et résilients, et constater également que l’accroissement des investissements destinés à donner les moyens au personnel sanitaire d’être plus efficace et socialement responsable peut générer des gains socioéconomiques considérables et contribuer à l’élimination de la pauvreté sous toutes ses formes et dans toutes ses dimensions, à l’émancipation de toutes les femmes et de toutes les filles et à la réduction des inégalités ; |
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Mortalité et morbidité maternelles évitables et droits de l’homme (2016), para. 30 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 6. Invite tous les acteurs intéressés, y compris les gouvernements, les organisations régionales, les organismes compétents des Nations Unies, les institutions nationales des droits de l’homme et les organisations de la société civile, dans le cadre de leurs mandats respectifs, à redoubler d’efforts pour réduire la mortalité et la morbidité maternelles évitables, y compris, entre autres choses, en utilisant le guide technique, selon qu’il convient, lors de l’élaboration, de la mise en œuvre et de l’examen des politiques et lors de l’évaluation des programmes visant à réduire la mortalité et la morbidité maternelles évitables, tout en faisant en sorte que les femmes participent de manière effective à toutes les décisions qui les intéressent ; |
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Intensification de l’action menée pour éliminer la violence à l’égard des femmes et des filles : prévenir et combattre la violence à l’égard des femmes et des fillesdans les environnements numériques (2018), para. 18 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Conscient en outre que la violence à l’égard des femmes et des filles est une manifestation de l’inégalité des sexes et de la discrimination dont les femmes et les filles font l’objet, et qu’elle peut faire obstacle à leur indépendance économique et entraîner des coûts directs et indirects à court et à long terme pour les particuliers et la société, y compris la perte de moyens de subsistance et un manque d’accès aux services financiers en ligne, avec les répercussions psychologiques et physiques qui en découlent, et occasionner aussi des dépenses supplémentaires au titre des soins de santé, des services juridiques, de l’aide sociale et des services spécialisés, |
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Déclaration politique sur le VIH et le sida : accélérer la riposte pour lutter contre le VIH et mettre fin à l’épidémie de sida d’ici à 2030 (2016), para. 019 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 16. Nous sommes conscients que, pour prendre en compte l’ensemble des besoins et des droits des personnes qui vivent avec le VIH, risquent d’être infectées ou sont touchées par le virus, tout au long de leur vie, il faut s’associer étroitement aux activités visant à éliminer la pauvreté et la faim partout dans le monde, améliorer la sécurité alimentaire et nutritionnelle et l’accès à un enseignement primaire et secondaire gratuit et non discriminatoire, promouvoir la bonne santé et le bien -être, garantir à tous, y compris aux enfants, l’accès à une protection sociale qui prenne en compte le VIH, réduire les inégalités dans les pays et d’un pays à l’autre, parvenir à l’égalité des sexes et à l’autonomisation de toutes les femmes et les filles, assurer un travail décent et l’émancipation économique et promouvoir des villes saines, des logements stables et des sociétés équitables et inclusives pour tous ; |
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Intensifier l’action engagée pour en finir avec la fistule obstétricale (2015), para. 34 | 25 févr. 2020 | Paragraph | b) À investir davantage dans les systèmes de santé en veillant à ce que le personnel soit dûment formé et qualifié, notamment les sages-femmes, les obstétriciens, les gynécologues et les autres médecins, et en finançant la mise en place et l’entretien de l’infrastructure, ainsi qu’en investissant dans des systèmes d’aiguillage des patientes, le matériel et les chaînes d’approvisionnement, en vue d’améliorer les services de santé maternelle et néonatale et de garantir aux femmes et aux filles un accès à toute la gamme des soins et de mettre en place des mécanismes de suivi et de contrôle de la qualité dans tous les domaines de la prestation de services ; |
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Intensification de l’action menée pour prévenir et éliminer toutes les formes de violence à l’égard des femmes et des filles : violence familiale (2017), para. 26 | 25 févr. 2020 | Paragraph | Soulignant que les États ont l’obligation, à tous les niveaux, de promouvoir, de protéger et de respecter tous les droits de l’homme et libertés fondamentales pour tous, y compris les femmes et les filles, et d’agir avec la diligence voulue pour prévenir les violences dirigées contre elles, enquêter à leur sujet, en poursuivre les auteurs et les en tenir responsables, offrir aux victimes un véritable accès à des voies de recours appropriées et mettre fin à l’impunité, qu’ils devraient assurer la protection des femmes et des filles, notamment en veillant à faire respecter comme il se doit les recours civils, les ordonnances de protection et les sanctions pénales et en mettant à la disposition des victimes des centres d’accueil, des services d’assistance psychosociale, de conseil et de soins de santé et d’autres types de services d’accompagnement pour éviter qu’elles ne subissent de nouveaux préjudices, et favoriser un environnement propice à l’autonomisation, et que cela aidera les femmes et les filles victimes de violences à jouir de leurs droits élémentaires et de leurs libertés fondamentales, |
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Intensification de l’action mondiale visant à éliminer les mutilations génitales féminines (2017), para. 34 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 13. Engage les États à énoncer des politiques et des règles pour assurer la mise en œuvre effective des cadres législatifs nationaux relatifs à l’él imination de la discrimination et de la violence à l’encontre des femmes et des filles, en particulier les mutilations génitales féminines, et à établir des mécanismes de responsabilisation adéquats aux niveaux national et local pour veiller à leur respect et à leur application; |
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Les filles (2018), para. 53 | 25 févr. 2020 | Paragraph | 28. Constate qu’un nombre considérable de filles sont particulièrement vulnérables, qu’elles soient orphelines, enfants des rues, déplacées ou réfugiées, victimes de la traite et de l’exploitation sexuelle et économique, qu’elles vivent avec le VIH et le sida ou soient touchées par la maladie, ou encore incarcérées ou dépourvues de soutien parental, et exhorte en conséquence les États à prendre les mesures voulues pour répondre aux besoins de ces enfants avec le soutien, s ’il y a lieu, de la communauté internationale, en appliquant des politiques et des stratégies nationales, régionales et sous-régionales propres à renforcer les capacités dont disposent les pouvoirs publics, les collectivités et les familles pour assurer leur prise en charge, notamment en leur offrant des services d’orientation et un soutien psychosocial adaptés, en veillant à leur sécurité et à leur scolarisation et en s’assurant qu’elles ont accès dans des conditions d’égalité avec les autres enfants au logement, à une bonne nutrition et aux services sociaux et de santé ; |
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